Madame Figaro a réalisé un article pour présenter les actions et les objectifs de l’association Mata Tohora.
Je travaille avec les animaux dans leur milieu naturel uniquement, depuis le début de ma carrière.
J’ai étudié le comportement du grand dauphin (Tursiops truncatus) et du phoque vaux-marin (Phoca vitulina) en Normandie, avant de venir en Polynésie française où j’étudie notamment les baleines à bosse et les dauphins dans l’Océan Pacifique.
Malheureusement, mes valeurs éthiques concernant la captivité des mammifères marins n’ont pas été respectées malgré l’expression claire de mon point de vue à ce sujet lors de l’interview qui s’est déroulée sur plusieurs jours. En effet, je n’adhère pas, à titre personnel, à la captivité des mammifères marins. Cela est pour moi contre-nature d’un point de vue social, comportemental, etc.
Et donc, vous l’avez compris… ce n’est pas moi sur la photo avec le dauphin en captivité.
Je tenais à rectifier l’article afin que le lecteur puisse avoir les bonnes informations.
Bonne lecture !
Agnès BENET, présidente de Mata Tohora
