Les consciences s’ouvrent pour reconnaitre de plus en plus le non-sens de la mise en captivité des dauphins (grands dauphins, orques, bélougas…)
Aujourd’hui, la justice peut interdire la capture, l’exploitation, la commercialisation, l’importation, l’exportation et même la reproduction des cétacés en captivité.
Le Canada est le dernier pays à ce jour à avoir légiféré sur ce sujet.
D’autres pays comme la Polynésie française interdisent la capture, l’exploitation, la commercialisation, l’importation et l’exportation des mammifères marins.
Certains pays comme le Royaume-Uni, le Brésil, le Nicaragua ont une réglementation tellement stricte que les delphinium ont été obligés de fermer.
En 2013, l’Inde a interdit les delphinium en reconnaissant les dauphins comme « personnes non humaines » de part l’avancée des études sur ces animaux.
MAIS le droit maritime international interdit de relâcher en pleine mer les animaux qui vivaient en captivité.
Il est donc urgent de mettre en place des sanctuaires, aires marines protégées adaptées à la réhabilitation des dauphins captifs, avec des programmes appropriés.
La Grèce est donc le 1er pays à mettre en place ce dispositif qui sera fonctionnel dès cette année.
Plus d’informations sur la captivité et le nouveau sanctuaire
sur le lien ci-dessous ; un article de Geo.
