Mata Tohora souffle sa première bougie et déjà, en un an seulement vous êtes nombreux à nous soutenir et à nous accompagner pour respecter les dauphins et les baleines. Les principales actions réalisées tout au long de l’année vous sont présentés dans notre Bilan d’activités MATA TOHORA 2014. De « La Journée de la Baleine » au Programme « C’est …
Rejoignez MATA TOHORA en adhérant à l’association En remplissant le bulletin d’adhésion 2015 Mata Tohora, devenez membre et participez avec nous aux différents évènements. Pensez aussi à vous rendre sur notre page facebook pour suivre les actualités, les rendez-vous. … Ou sur notre site afin de télécharger, dès maintenant, le bulletin d’adhésion. Vous suivrez ainsi les différents …
Le bureau d’études PROGEM, partenaire de MATA TOHORA, est l’auteur du chapitre sur le whale-watching de l’ouvrage « Environnement marin des îles Australes » qui paraitra mi 2015. Avec la collaboration de MATA TOHORA lors de la mission aux Australes, un état des lieux sur les activités de whale-watching a pu être établi. Mandatés par la Direction de …
La justice a tranché, le terminal pétrolier de TransCanada ne s’implantera pas dans le fleuve Saint Laurent. Une bonne nouvelle pour les bélugas, menacés par le projet. Si les intérêts économiques en jeu sont importants, il en est de même des intérêts écologiques. La population de béluga du fleuve Saint Laurent est en effet dans …
Voilà ce qui se passe quand on respecte les animaux… Ce cachalot semble en effet apprécier ! Nager avec les cétacés peut parfois les déranger… Mais tout est une question d’approche et de savoir faire !… Patience et respect = de bons échanges, de bons moments ! Bon film ! et à bientôt pour …
Etude des grands dauphins (Tursiops truncatus) de Normandie Dans l’édition du 28 février 2015 de la Manche Libre, un article de Jean-Marie Déant détaille les travaux du GECC sur l’état de contamination des grands dauphins. Bonne lecture !
Les baleines à bosse que nous observons en Polynésie de mi juin à début décembre se nourrissent dans l’Antarctique le reste du temps. Le sanctuaire polynésien de 5 millions de kilomètres carrés leur assure de n’être ni chassées ni capturées… Un havre de paix pendant leur migration, leur permettant de se reproduire et de mettre bas …